L'Avenir de la philosophie bergsonienne

EDITION ORIGINALE, extraite de la Revue politique et littéraire dite Revue bleue (1917, n° 8 à 10). 
EXEMPLAIRE UNIQUE du philosophe et historien de la littérature Ernest Seillière, enrichi de 6 PIECES, dont 3 lettres autographes signées d'Henri Bergson : « ... Je tiens à vous dire tout de suite le plaisir que j'ai eu à lire ces si bienveillantes et si pénétrantes études, vous avez approfondi mes divers travaux, vous les avez rapprochés les uns des autres, et vous avez dégagé de cette comparaison des conclusions que je n'avais pas toujours formulées, mais qui me paraissent tout à fait en harmonie avec l'esprit de la doctrine ... » (Paris, 30 mai 1917). 
« ... Vous avez cueilli dans mon dernier livre [La Pensée et le mouvant] un certain nombre de passages essentiels ; vous les avez commentés avec votre habituelle pénétration ; et de tout cela est sorti un article très vivant, suggestif comme tout ce que vous écrivez ... » (Vevey, 20 juin 1934). 
« ... Vous êtes certainement celui que je dois remercier d'abord, car vous avez pensé pour moi à ce prix Nobel il y a très longtemps [Bergson fut lauréat du prix en 1927 et le reçut en 1928], alors que l'idée ne me serait même pas venue que je pusse y prétendre ... » (Paris, 25 décembre 1928). 
– Une lettre autographe signée de l'universitaire et directeur de la Revue germanique Félix Piquet à Ernest Seillière (1928). 
– Deux coupures de presse (un article de Gabriel Hanotaux sur le voyage de Bergson en Amérique, 1917, un article de René Gillouin intitulé « Que sera la morale bergsonienne ? », 1918).